Il y a quelques mois de cela, nous vous avons abandonné du coté de Los Angeles où nous avons définitivement laisser sur un parking notre véhicule de location avec quelques 4000 kms de plus au compteur.
Il était tout à fait possible pour nous à ce moment là de rejoindre le vieux continent, mais les vols intérieur étant clairement attractif, l’idée de faire un « mini séjour » dans la mégalopole New-Yorkaise nous à rapidement séduite au moment de la planification de notre voyage, comme étant la cerise sur le gâteau.
Afin ne pas perdre une journée dans les transports, nous avons rejoint « la grande pomme » au travers d’un vol de nuit qui nous facilitera aussi la récupération progressive du décalage horaire (+3h de récupéré entre la côte Pacifique et la côte Atlantique).
C’est plus précisément dans l’état du New Jersey (à l’aéroport de Newark) en périphérie de New York que notre Boeing 737 posa son train d’atterrissage. Dès le tarmac nous pouvons déjà admirer au loin la skyline de Manhattan c’est le premier effet « Waou » de cette escale. Petite frayeur de notre coté, car nos valises avaient décidées de prendre le précédent vol, mais plus de peur que de mal, nous les avons récupérés au bureau des bagages perdus, malgré notre anglais toujours aussi approximatif (ouf).
Les Taxis jaunes sont bien là, tout comme le bruit et la moiteur de l’été new yorkais: C’est d’ailleurs au bord d’un des mythique taxi que nous avons rejoint notre hôtel à quelques encablures de Central Park, au passage nous avons été relativement fasciner d’y découvrir une télévision à l’arrière du véhicule.
Visite express en 48h: Top départ à Central Park.
Nous n’allons pas nous mentir, cette étape à New York est un « bonus » car après plus de quinze jour à gambader dans l’Ouest Américain, notre objectif était de faire « les essentiels en 48h », un délais bien trop limité pour profiter intégralement de cette ville. Notre hôtel étant situé à quelques centaines de mètre de Central Park, c’est par cette étape que notre city-trip a réellement débuté.
Dans Central Park c’est un peut ce sentiment de vivre un moment « comme à la télé » qui nous gagne, nous voyons des jeunes jouer au baseball et nous tombons un peut par hasard sur le mémorial Strawberry Fields dédié à John Lennon tombé sous les balles de Mark Chapman en 1980 à quelques mètre d’ici. Ce poumon vert que représente Central Park est tellement en décalage avec cette ville qui ne s’arrête jamais, nous n’avons d’ailleurs pas pu nous empêcher de profité comme tout new-yorkais d’une petite sieste sur une verdoyante pelouse.
L’éblouissant Time Square
Le soir venu c’est à la force de nos mollets que nous nous sommes dirigés vers Times Square, le tout en admirant un magnifique couché de soleil entre les gigantesque et si nombreux gratte-ciels de la très chique cinquième avenue.
Ici, la notion de temps disparait, les restaurants sont ouverts toute la nuit. Ce flux continu de passant qui traverses la rue est incroyable, tout comme l’éblouissement que procure les gigantesques écrans géants publicitaires. Il est évident que nous sommes au cœur du capitalisme et de la société de surconsommation, nous voilà à l’opposé des paysages « nature » de Monument-Valley pourtant nous vivons là un des temps fort de notre road-trip.
La Statut de la Liberté en guise de Terminus.
Le lendemain après une nuit douillette et pour la dernière journée complète sur le sol américain, l’objectif de la journée était de s’approcher du plus grand symbole américain: la Statut de la Liberté.
Normalement point d’entrée des Européens sur le sol américain, pour nous elle sera plutôt notre point de sortie. Nous nous sommes contenter d’utiliser la « Circle Line compagnie » qui ne s’arrête pas sur Statut-Island mais où il est possible en 60 minutes de naviguer sur l’Hudson en longeant tout Manhattan au départ de la 42ème rue jusqu’à apercevoir ce mythique monument. A propos d’adresse, Il est d’ailleurs très facile se de repérer à New York avec ce principe d’une numérotation de rue d’Est en Ouest et un découpage en avenue du Nord au Sud.
C’est donc avec une journée très riche en marche (environ 15km) en flânant sans objectif précis (mais cela était également fort agréable) que nous bouclons ce long périple dans le pays de l’Oncle Sam.
Bien que nous n’étions pas encore dans notre avion du retour, nous étions déjà à espérer revenir un jour à New York pour poursuivre notre visite.
Cet article marque aussi la fin de cette très longue série de récit sur ce road trip américain, un ultime article axé plus sur le coté coulisse et récapitulatif sur le déroulement d’un voyage US est également dans les cartons.
A bientôt pour de nouvelles aventures…